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    Addiction à la masturbation

    mars 06, 2021 9 min de lecture

    Une personne addict à la masturbation

    Vous voulez en savoir plus sur l’addiction à la masturbation ? Vous en êtes sujets, ou vous souhaitez aider quelqu’un ?

    Alors, vous êtes au bon endroit pour découvrir l’entièreté du problème et approfondir vos connaissances personnelles sur les risques de la masturbation.

    Dans cet article, nous traiterons plusieurs sujets :

    • Qu’est-ce que l’addiction à la masturbation
    • Quels en sont les symptômes
    • Quelles solutions sont envisageables pour "se soigner"

    À la fin de votre lecture, vous aurez toutes les informations que vous recherchiez et vous connaitrez cette dépendance sur le bout des doigts. Si vous en êtes dans la nécessité, vous pourrez trouver un remède à votre problème.

    Commençons tout de suite !

    A) Qu’est-ce que l’addiction à la masturbation ?

    La masturbation est exercée par tout le monde. En couple ou célibataires, chaque individu à ses désirs, ses envies coquines et donc ses raisons de se masturber. Par ailleurs, loin d’être une activité néfaste, elle possède bien des avantages. Elle permet de retrouver son intimité, de compenser l’absence de complicité à deux ou de combler le manque de relation sexuelle.

    Chez certaines personnes cette pratique érotique peut se transformer en une forme d’addiction. On parle alors de masturbation compulsive ou excessive. Celle-ci se traduit par un appétit de sexe incontrôlable. Aussi, elle est menée par des pulsions sexuelles intenses demandant un soulagement immédiat.

    La dépendance à la masturbation rentre dans la grande catégorie des différents comportements compulsifs et incontrôlés. Au sein de celle-ci et dans le thème de la sexualité, on peut par exemple retrouver l’accoutumance au sexe en général et à la pornographie.

    Personne qui se masturbe énormément

    1) Est-ce vraiment une addiction ?

    Il faut le savoir, d’un point de vue médical la masturbation excessive n’est pas une addiction à proprement parlé. Les avis sont partagés, mais la plupart des spécialistes préfèrent la percevoir comme un acte compulsionnel et s’opposent au terme de dépendance.

    Même pratiquée de manière surabondante, la masturbation n’est pas non plus reconnue comme une forme de toxicomanie ni un problème de santé mentale ou psychologique (cela va changer le 1er janvier 2022 : elle sera reconnue comme un désordre mental selon l'OMS). En attendant, elle reste classée comme un comportement sexuel compulsif et incontrôlé ou encore un trouble de la sexualité.

    2) Quel en est son impact ?

    Un homme ou une femme victime d’une "addiction" à la masturbation peut voir sa vie affectée, autant au niveau sexuel, personnelle que professionnelle. Les effets néfastes les plus courants sont :

    • Un plaisir et une satisfaction sexuelle amoindris lors d’un rapport à deux ;
    • Une baisse de l’estime de soi, en outre une auto dévalorisation ;
    • Un mal-être ou une négativité générale avec ses relations personnelles ou professionnelles.

    L'impact de la masturbation sur un couple

    B) Diagnostiquer la dépendance à la masturbation

    Pour l'instant, la masturbation compulsive comme les autres comportements sexuels incontrôlés n’est pas un trouble mental. De ce fait, il n’existe pas de réels critères pour la diagnostiquer en ce sens. Cependant rien ne vous empêche de déterminer si elle représente ou non, un obstacle dans votre vie.

    Pour ce faire, vous pourriez consulter un médecin spécialisé. À travers un échange et quelques questions, il serait tout à fait en mesure de définir si elle est nocive à votre bien-être. Auquel cas, il pourra vous proposer divers traitements et contribuer à vous sortir de la dépendance.

    1) Quels en sont les symptômes ?

    Se masturber de manière régulière, ce n'est pas forcément être addict à l'auto-érotisme. Ainsi, si vous souhaitez connaitre votre situation actuelle, vous pouvez étudier les différents symptômes ci-dessous. Ils vous permettront de savoir si vous êtes "dépendant" ou si vous avez besoin d’aide :

    • La masturbation gaspille une grande partie de votre temps ;
    • La branlette pompe dans votre dynamisme ;
    • Votre vie de couple, personnelle ou professionnelle en pâtissent ;
    • Votre planning est bouleversé (retard, annulation d’événement, de rendez-vous…) ;
    • Régulièrement, vous préférez être seul plutôt que de sortir faire la fête ou d’être avec un partenaire ;
    • Vous vous masturbez dans des lieux publics (au cinéma, au travail ou tout autre lieu donnant possibilité d’être surpris par une personne) ;
    • Vous vous masturbez alors que vous n’êtes pas sous l’effet de l’excitation ;
    • Avec la masturbation vous cherchez à faire face à une émotion négative et ceci à répétition ;
    • Vous vous sentez mal, anxieux ou bouleversé pendant ou après la masturbation
    • Vous n’en avez pas forcément envie, mais vous le faites de manière automatique ;
    • Vous souhaitez mettre en pause la masturbation, cependant la volonté est constamment anéantie et le repos n’est que de très courte durée ;
    • Vous y pensez continuellement.

    Couple en pleine remise en question

    2) Quelles en sont les causes ?

    La masturbation n’est pas néfaste en soi. On le sait, elle présente même plusieurs bienfaits pour la santé. Si vous êtes enclin au stress, sous l'effet de la nervosité ou victime d'insomnie, la masturbation peut vous venir en aide. Paradoxalement certains facteurs tels que l’anxiété, atténuable grâce à la masturbation, peuvent être au final la cause de votre satyriasis ou nymphomanie.

    Pour vous éclairer, nous vous avons listé des raisons potentielles à cette accoutumance :

    • La dépression ou l’angoisse : On peut la gérer en utilisant la masturbation. En effet, grâce à elle on peut améliorer notre humeur, nous détendre ou réduire le stress ;
    • La neurobiologie : Oui, certains individus sont plus enclins à développer une dépendance que d'autres. Comme l’effet des drogues, le plaisir ressenti varie entre chaque personne. Une vulnérabilité génétique ou psychique peut donc favoriser cette addiction.
    • Déséquilibre des hormones naturelles du cerveau : À cause de certaines maladies ou la prise de certains médicaments, le taux d’hormones peut être déstabilisé.
    • La douleur émotionnelle : Traverser des évènements désagréables ou des traumatismes peuvent mener vers la dépendance. On cherche les à repousser avec des comportements sexuels compulsifs.

    Il existe quelques facteurs de risques pouvant accélérer la route vers la dépendance, les voici :

    • La facilité d’accès aux contenus sexuels tel que les magasines ou les films pornographiques ;
    • Des soucis d’ordre privé et familial
    • Divers problèmes de santé mentale ;
    • La toxicomanie ;
    • Des antécédents d’abus sexuels ou physique, pas obligatoirement un viol, mais aussi les caresses et les attouchements ;
    • Une hypersexualisation prématurée.

    Ceux-ci n’ont pas forcément besoin d’être présents au départ. Un individu peut développer un comportement sexuel compulsif sans passer par ces facteurs de risques.

    Personne en état de stress

    C) Faut-il un avis médical pour résoudre le problème ?

    Comme l’arrêt du cannabis, du tabac ou encore de l’alcool, l'hypersexualité peut se combattre et se vaincre seul, de manière autonome. Ceci dit, cela dépendra de votre personne, tout est une question de volonté et de force mentale. Comme elle ne présente pas de danger direct, vous pouvez tout à fait essayer de le maîtriser sans avis médical. De plus, ce sera un excellent un moyen de vous tester vous-même !

    Si malgré toutes vos tentatives la réussite n’est pas au rendez-vous, ce n’est pas la fin du monde. Vous pouvez faire appel à un thérapeute afin de profiter de ses précieux conseils. Bien sûr, il faut mettre de côté sa timidité, si vous n’osez pas vous devrez réaliser un travail de réflexion sur vous-même. Ce n’est pas une honte, la sexualité n’est plus un tabou, vous êtes loin d’être un cas unique puis le médecin que vous verrez est là exprès pour ça.

    D) Quelles sont les solutions de traitements possibles ?

    En faisant des recherches sur internet, vous pourrez vous rendre compte qu’il existe de nombreuses solutions pour "sevrer" l'onanisme addictif. Les revues médicales, scientifiques, certains blogs comme celui-ci ou les prescriptions d’un médecin pourraient vous aider. En voici quelque une : (si vous le souhaitez, vous pouvez accéder à notre article complet sur "comment arrêter la masturbation", il vous donnera encore plus de solutions pour en finir avec cette addiction). 

    1) Thérapie

    La thérapie est un très bon moyen de guérir l'assuétude au plaisir solitaire. Simplement par la parole, le thérapeute va pouvoir étudier votre cas en profondeur.

    Pendant l’échange, il pourrait vous poser quelques-unes de ces questions :

    • Est-ce que vous vous masturbez hors de chez vous ? Dans votre voiture ou autre ?
    • Vous sentez-vous mal à l’aise ou désolé après la masturbation ?
    • Avez-vous connu un traumatisme sexuel par le passé ?
    • Est-ce que vous êtes anxieux, stressé ? À quel point ?
    • Comment se déroule votre relation avec votre partenaire ?
    • La masturbation chamboule-t-elle votre planning ?
    • Combien regardez-vous de revues ou films pornos ? À quelle fréquence ?

    À travers cette addictologie, le thérapeute pourra savoir si votre attitude tire vraiment de l’addiction. Il pourra approuver ou non la présence d'une perte de contrôle intense à résister à des impulsions ou à des besoins sexuels répétitifs, générant du stress et des déficiences. Si c’est le cas, il pourra en déterminer les causes et en étudier les conséquences.

    Enfin, il sera en mesure de vous aider à traiter vos sentiments puis à stopper ou à réduire votre comportement sexuel compulsif. Gardez-le à l’esprit, tous les propos que vous tiendrez lors des consultations avec votre médecin sont totalement confidentiels. Le secret médical vous protège, le thérapeute n’est pas autorisé à divulguer les dires de vos séances avec qui que ce soit.

    Personne addict à la masturbation en thérapie

    2) Parlez-en

    Outre le thérapeute, il existe de nombreuses manières de "soigner" ou de réduire "l’addiction à la masturbation". En effet, en parler autour de soi à ses proches ou même à des inconnus par le biais de forums peut être d’une grande aide.

    a) À vos proches

    Aujourd’hui, le sexe on l’aborde sans tabou. On en parle dès l’adolescence, au collège avec l’éducation sexuelle ou même avec des amis. Prenez en compte et n’hésitez pas à demander de l’aide à votre famille ou à vos connaissances pour affronter ce problème.

    b) À votre médecin

    Quoi de mieux qu’un professionnel ? Votre médecin généraliste pourra vous faire part de sa vision sur votre cas. Il vous donnera des conseils et des pratiques à mettre en place pour corriger votre accoutumance.

    c) Sur les forums

    Les forums sont très pratiques pour faire part de ses soucis. On peut aussi bien rencontrer des médecins que des personnes confrontées ou ayant affronté notre situation. L’avantage ici c’est la distance, on ne s’expose pas au regard de l’autre. Pour beaucoup il sera plus facile de s’exprimer et d’expliquer ce qu’il traverse.

    d) Dans un groupe de soutien

    Il y existe divers groupes de soutien destiné aux personnes souffrant de comportements sexuels compulsifs. Vous pourrez facilement les trouver en fouillant internet. Le site Groupe Soutien Dépendance Sexuelle Anonyme (https://www.groupesoutiendsa.com/) en est un exemple.

    Groupe de discussions sur la sexualité

    3) Médicaments

    À ce jour, aucun remède miracle ne permet de traiter la manustupration compulsive et incontrôlée. Par contre, nous avons vu diverses maladies ou différents troubles de santé mentale pouvant être liée à cette dépendance. Pour rappel, on retrouve principalement l’anxiété et le stresse, le trouble bipolaire ou encore les dépressions majeures.

    Ainsi, vous le comprenez bien, soignez ces troubles avec des médicaments influera favorablement sur l’addiction de la masturbation. Donc, les antidépresseurs, les antipsychotiques et d’autres substances pourraient vous aider. Maintenant, si vous pouvez vous en passer nous vous le conseillons fortement. Aussi, la prise d’un tel remède doit de toute manière être contrôlée et ordonnée par un médecin spécialiste.

    4) Multipliez vos loisirs

    Modifier ses habitudes et sa façon de vivre sera un avantage indéniable pour surmonter son addiction à la masturbation. Voici quelques suggestions pour vous aider à maîtriser votre comportement :

    • Pratiquer des activités (courses, musculation, yoga, méditation…)
    • Exercer des hobbies (musique, jeux vidéo, lecture…)
    • Sortez (balade, shopping…)

    Passer du temps à faire des activités plaisantes pourra vous épanouir et vous aidera à oublier la masturbation.

    5) Vivez et créez des relations sociales

    Vivre pleinement, entretenir et créer de nouvelles relations sociales sera également bénéfique et estompera peu à peu la dépendance. Ne perdez pas plus de temps, amusez-vous pour reprendre le contrôle de votre vie ! Ces quelques pratiques vous aideront :

    • Passez du temps avec vos amis (soirée festive, cinéma…)
    • Faites de nouvelles rencontres (bar, boite de nuit…)
    • Partez à la découverte de l’inconnu (voyage en groupe, musée…)

    Comme les loisirs, la création de nouveaux liens avec des individus et avec le monde en lui-même vous sortira de votre routine. Une belle avancée pour instaurer un écart avec la solitude, combattre l’anxiété et votre addiction.

    Une sortie dans un bar entres amis pour se vider la tete

    E) Et si je ne soigne pas ma dépendance ?

    Les comportements compulsifs pourraient s’aggraver au fil du temps. Même si elle n’est pas traitée, elle ne fera pas de mal à votre santé physique. Toutefois elle pourrait finir par nuire ou briser vos relations. Ceci qu’elle soit professionnelle, romantique ou sexuelle.

    À force, elle pourrait également jouer défavorablement sur votre santé mentale. À ce niveau, on retrouve souvent la diminution de la satisfaction sexuelle ou encore l’auto dévalorisation sévère.

    F) Vous vous inquiétez pour un proche ?

    Bon, de manière à rassurer tout le monde, gardez à l’esprit que la branlette est une pratique sexuelle humaine, saine et tout à fait normale. Elle commence plus ou moins tôt durant l’adolescence et surtout elle nous suit tout au long de notre vie. Ceci que l’on soit célibataire ou en couple.

    Même l’exercer de manière très régulière n’est pas forcément un signe alarmant. Il s’agit simplement de s’inquiéter un peu plus si elle impacte les relations, l’apprentissage à l’école ou le milieu professionnel. Cela pourrait démontrer la présence d’un problème plus vaste.

    Si le sujet n’est plus un tabou pour certains, il peut encore aujourd’hui être redouté par d’autres. Si vous cherchez à venir en aide à quelqu’un qui en a vraiment besoin, veillez à ne pas le juger et essayer d’être naturel, sans lui faire honte.

    Préférez la qualité à la répétition !

    Nous voilà à la fin de cet article. À cet instant, vous connaissez tout du comportement sexuel compulsif. Vous savez le définir, vous en connaissez les causes possibles et vous savez également où commencer pour la traiter. Si vous-même êtes ou un de vos proches est victime de comportement sexuel incontrôlé, vous saurez agir en conséquence.

    Le dernier conseil que nous pouvons vous donner est de privilégier la qualité et non la quantité. Essayez de vous faire plaisir moins souvent, mais de façon plus intense, plus orgasmique. Ainsi, laissez-nous vous suggérer le vagin artificiel, un jouet sexuel réservé aux hommes. En cliquant sur l’image ci-dessous, vous aurez accès à un sex-shop. Il présente tout un panel de masturbateur créer pour rassasier vos désirs coquins de manière complète.